Aujourd'hui nous quitton La Havane en direction de l'ouest (2 février)

Pose avec Ana et sa famille qui nous ont hébergé pendant 4 nuits.

Pour rejoindre l'hôtel où se trouve notre voiture de location il faut remonter la grande avenue du bord de mer (dit le Malecon), un taxi Coco nous prend en charge. 

Et filons à toute alure vers une nouvelle destinée.

Soroa,

Après avoir réccupéré la voiture nous prenons l'autoroute, c'est assez monotone et sans grand intérêt. Par ailleurs il faut rester très attentif et ne pas se tromper de direction faute de panneaux indicateurs.

Arrivés à Soroa dans l'àprès midi où nous passons la nuit, il reste assez de temps pour visiter un jardin d'orchidées.

Mais ce n'est pas la bonne saison, il y a peu de fleurs. Par contre l'Internert fonctionne beaucoup mieux qu'à La Havane, c'est ainsi pour vous avez pu nous lire.

En route pour Vinales (dimanche 3 février)

Après avoir été très bien accueilli dans une maison toute neuve par une Cubaine très sympathique nous continuons notre route.

Véhicule Cubain : une deux boeux en version décapotée.

Bahia Honda, village authentique de Cuba où nous nous arrêtons pour faire quelques courses, faute de quoi nous risquons de sauter encore un repas, il faut aussi trouver de l'eau, la température est déjà à 32°.

AUtre modèle Cubain à un cheval, plus rapide.

A la boulangerie "d'état", impossible de payer notre pain faute de disposer de Pesos Cubain (les touristes n'ayant que des Pesos convertibles). Au final la boulangère nous donne le pain. He oui, même pas honte !

Dans l'épicerie "d'état", il a fallut chercher pour trouver quelque chose d'achetable. L'avantage, c'est un peu plus vite fait qu'à l'Inter de Miramas.

Et constituons un kit de survi que voici. Heureusement que nous ne nous appelons pas Kola !

Un peu plus loin nous dégustons avec plaisir notre sublime repas.

Vilarès, petite ville très touristique où nous allons rester 3 jours.

Réconfort du soir dans un restaurant de Vilarès.

Question du jour: qui est ce personnage barbu que nous croisons à tous les coins de rues.